La mission première de l’IRD – et donc de son réseau à l’étranger et dans les Outre-mer – consiste dans les pays et territoires où il intervient, à contribuer, via la recherche, à l'émergence, au renforcement et à l'autonomisation de communautés scientifiques et de systèmes d’enseignement supérieur et de recherche tout en contribuant à répondre aux besoins des populations.
Un effort soutenu tout au long de l’année 2018 a permis de continuer à adapter ce réseau aux orientations stratégiques et scientifiques définies dans le Plan d’orientation stratégique de l’IRD, mais aussi de l’optimiser dans une logique de mutualisation avec d’autres opérateurs français et ambassades. Des économies ont pu ainsi être dégagées.
Lancés en 2017 avec le projet d’évolution du réseau afin de rendre concret le principe du partenariat équitable, 6 comités de pilotage scientifique et stratégiques (CPSS) à double parité Nord-Sud et Homme-Femme, ont été lancés en 2018 (Cameroun, Indonésie, Thaïlande, Vietnam, Bolivie, Afrique du Sud) après la Côte d’Ivoire, la Tunisie et le Sénégal, en 2017.
Les mutualisations de la fonction de représentation se sont vues renforcées avec la mutualisation IRD-Cirad en Martinique, pour un total de 5 postes avec représentants mutualisés (Afrique du Sud, Ethiopie, Madagascar, Martinique, Tunisie).
Afin de définir la feuille de route IRD pour la Méditerranée, une réunion régionale a été organisée fin novembre à Tunis.